Il y a des week ends plus court que d’autres, et par conséquent des lundis qui piquent un peu plus.
C’est le cas aujourd’hui, même si j’ai bien eu mes 2 jours de week end, je n’ai rien vu. Mettons ça sur la nuit qui tombe à 17 heures, sur les température qui n’en finissent pas de baisser, sur mon besoin de vacances qui lui n’en finit pas de grandir, en tout cas je n’ai rien vu.
Et pourtant pas le choix, il faut partir au front, braver les pièges que nous tend la SNCF, affronter ses collègues, se rendre au boulot.
Des chefs attendent des compte-rendus qu’ils ne liront pas, des clients râlent de ne pas voir arriver la 27ème version de leur logiciel tant attendu que personne n’utilise, des « dead-lines » meurent d’avoir été tant repoussées…
Bref, c’est lundi, il faut y aller, mais ça daille.
Commentaires fermés.