La pression au boulot, j’en ai déjà parlé plusieurs fois, mais il se trouve que le sujet revient régulièrement sur la table.
Sondage du jour : avez vous de la pression dans votre travail ?
Et si oui, quelle genre de pression ?
Personnellement, j’ai résolu le problème de la pression au boulot par la méthode du « j’en n’ai rien à foutre ».
Je m’explique.
Que mon boulot soit fait ou non, cela ne changera rien.
Au pire certains utilisateurs n’auront pas accès à une application pendant quelques heures, mon chef se fera souffler dans les oreilles, on aura quelques jours de retard dans la livraison d’une fonctionnalité dont personne n’a réellement besoin…
Personne ne va mourir, personne ne va se faire virer et se retrouver au chômage.
Les conséquences peuvent donc être considérées comme nulles, et donc « j’en n’ai rien à foutre ».
Bien entendu, cela n’est pas simple, et certainement pas donné à tout le monde, mais moi, quand j’estime avoir suffisamment bossé pour la journée, que mon boulot soit terminé ou non, que mon chef soit content ou non, je me casse.
Bon week end les zaminches.
Je n’en suis pas encore venu au « Je m’en fout ».
Je ne me mets juste pas de pression. Quand certaines personnes me demandent un taf, je laisse macérer quelques jours, même si c’est urgent. L’expérience m’a montré que dans la majorité des cas, la demande à complètement changée entre temps ou est carrément devenue inutile.
Pour les horaires, c’est pareil. Fini le stress d’arriver à l’heure ou pas. On est tellement en retard pour tout, que 30 minutes en plus ou en moins ne changeront rien.
Par contre, il faut utiliser avec parcimonie l’expression « Personne ne va mourir ». Les films comme « Destination finale » nous ont montré que tous les effets papillons sont possibles. Parano, moi ?
TheMelon > chacun sa technique, le but étant d’arriver à une certaine distanciation par rapport aux aberrations qu’on peut nous demander.
Laisser macérer est une très bonne méthode. 🙂