Pour se lancer, ou pour perdurer, un business plan c’est bien.
Plus que bien, c’est même indispensable quand il est l’heure d’aller demander de l’argent à noter banquier préféré.
Ca permet de mettre sur papier ce qu’on veut, ou on va, et comment on y va.
Le freelance, dans son infinie bonté, a consacré plusieurs articles au business plan en abordant des thèmes aussi variés que :
– la création du business plan,
– la question de l’argent dans le business plan
– le développement personnel ou de l’entreprise
– les clients
…
Bref, plein de belles choses qu’il faut aborder pour faire un business plan qui tiendra la route.
Et moi, ca me permet de faire une petite illustration au passage.
Je ne donnerai pas mon avis sur le business plan, je me souviens juste que lorsque j’ai eu à en faire un pour la création de mon entreprise il y a quelques années, j’avais beaucoup rigolé au moment de donner la vision à 5 ans de mon activité alors même qu’elle n’avait pas commencé.
Décrire les produits que je vais vendre, combien je vais les vendre, quelle est ma cible, ce sont des choses qui tiennent du bon sens.
Savoir combien je vendrai de tel type de produit, dans telle couleur, par moi dans 5 ans, ça frôle le foutage de gueule.
Sur ces belles paroles, bonne fin de journée, et bon week end les zaminches.
Et n’oubliez pas de me suivre sur facebook, et d’acheter mon livre, of course ! 🙂
par curiosité, c’est quelle type d’entreprise que tu avait crée ? et que s’est-il passé pour que tu en arrives à devenir IT manager dans une certaine entreprise ?
Pok> une entreprise d’import/export, et surtout un site web pour vendre des tableaux peints à la main.
J’ai fait ça à temps plein pendant presque 2 ans.
Ensuite j’ai fait des missions de freelance pour manger, les tableaux c’est beau mais ca nourri pas vraiment une famille.
Et je suis revenu en CDI quand j’ai cherché un crédit dans une banque pour acheter une maison.
Les banques n’aiment pas les freelances, même si je gagnais plus d’argent en tant que freelance qu’en temps que salarié…
Voilà. 😉
J’aurais tendance à te dire de redevenir freelance, mais du coup tu aurais moins de choses à raconter sur cette formidable épopée qu’est la vie au boulot