Le jargon est le pire ennemi du freelance, et plus globalement de tout travailleur qui est amené à présenter ses idées à quelqu’un d’étranger à son métier.
Qui n’a jamais assisté à une réunion à laquelle il ne comprenait rien parce que les gens parlaient en langage codé.
Pensez à tous les prestataires de services qui sont amenés à changer de mission régulièrement, à chaque fois il y a une bible d’acronymes à ingurgiter afin de comprendre, et d’être compris.
Ajouté à ça tous les anglicismes employés à tort ou à raison juste parce que ça fait plus « pro ».
Brainstorming, retroplanning, dead line…
Ce n’est pas évident de s’en passer aujourd’hui, mais en tant que freelance, il faut en permanence adapter son discours à son auditoire. C’est ce que conseil le freelance sur son blog, et pour le coup, je pense qu’il a raison !
Enfin, moi ca va faire 4 ans que je suis bosse dans la même boite (un exploit) et je ne comprend toujours rien aux acronymes employés. 🙂
C’est une excellente occaz’ de faire un business loto http://fr.wikipedia.org/wiki/Business_loto !
Quand 5 personnes hurlent « bullshit » en même temps dans la réunion, on comprend tout de suite que ça « shifte » le « nervous breakdown ».
Y’a même des applis pour ca : http://www.bs-bingo-astonwood.com/index.php
Fix> Le business loto est un jeu formidable qui mériterait que j’en fasse un sujet un jour. 🙂