Comme son nom l’indique, le touriste n’est rien qu’un gros touriste.
Il vient au boulot comme d’autres iraient à la plage, les mains dans les poches.
Il vient prendre la température de l’eau avant de décider d’aller boire un café.
On se demande ce qu’il fait de ses journées, mais si ca peut vous rassurer, lui aussi.
Toujours partant pour faire une pause, il aime aussi aller à des réunions auxquelles il ne participera pas vraiment, juste pour faire acte de présence.
Adepte des ballades dans les couloirs, et des coups de fils perso, le collègue touriste est aussi très fort pour surgir derrière nous sans qu’on s’en rende compte, faisant mine de s’intéresser à ce qui se passe sur notre écran, ce qui est absolument insupportable.
Sans internet sur son ordinateur de bureau, le touriste déprime et passe alors encore plus de temps en pause ou sur son smartphone.
Les horaires de travail du touriste sont à l’image de son implication dans les projets. Moins il en fait, mieux il se porte. D’un autre côté, moins il en fait, mieux les projets se portent!
Il n’est pas rare que pour survivre le touriste se transforme en illusionniste.
Décidement, l’entreprise c’est une jungle pleine d’animaux étranges…
On ressent du vécu dans ton article. Aurais-tu des touristes au sein de ton entreprise ?
Cedric > un car entier… 😉
C’est le patron ce touriste ?
Olivier> ah non, juste un gros touriste. 😉
Est-ce que parfois ils attrapent la tourista ???
Zugho> welcome! 🙂
Je ne sais pas s’ils attrapent la tourista, mais je sais qu’ils passent beaucoup de temps aux toilettes, surtout depuis qu’il y a du wifi.