Vous le savez tous depuis longtemps maintenant, « c’est la crise ma bonne dame« .
Et pour combattre cette fameuse crise économique, le freelance a la solution de la mort qui tue : devenir freelance.
Bon, d’un autre côté, lui il prêche pour sa paroisse.
Mais c’est vrai que dans un sens ça peut se tenir. Plutôt que d’attendre que les choses changent dans son entreprise ou qu’un employeur vienne frapper à sa porte, une des solutions peut être de créer sa propre structure.
Mais ca reste quand même plus facile à dire qu’à faire.
Sur ces belles paroles, bon vendredi et bon vikend les zaminches.
Oh oui, plus facile à dire qu’à faire !!! 😉
Philgreff > en fait, c’est pas si compliqué de devenir freelance. Le plus compliqué c’est de le rester et d’en vivre dignement. 😉
moi, je suis freelance et au pôle emploi…
je gagne nul part mais je suis con-tent !
Momomaxix > C’est le plus important… enfin c’est ce que disent les gens plein de sous.
C’est ce que j’ai fait et je regrette pas parce qu’entre les recruteurs qui te disent tout le temps que tu as pas assez d’expérience (au bout de trois ans ça énerve…) et Pôle Emploi pour qui tu es pas prioritaire (+25 ans mais -45ans c’est la case demerdez-vous) j’ai enfin l’impression de faire quelque chose d’utile de ma vie 🙂
Elodie> Et c’est tout à ton honneur!
Bravo ! 🙂
Je suis graphiste freelance depuis 10 ans, avec des hauts et des bas, des périodes creuses très stressantes (parce qu’on n’a pas d’allocs chômage) et des périodes de travail qui peuvent être tendues aussi, comme on ne s’autorise pas toujours à prendre des vacances en risquant de perdre ses clients. Mais il y a tous les avantages : une certaine liberté, le choix de ses horaires de travail, l’impression (peut-être illusoire) d’être son propre chef et pas le subordonné de quelqu’un.
En tout cas, je ne conseillerai pas ce choix de vie aux nouveaux graphistes arrivant sur le marché.
(Et puis surtout, si tout le monde était free, j’aurai vraiment trop de concurrence !) 😉
Cochon> Vive les freelances !! (bon, je ne le suis plus, mais ce n’est pas ma faute mais celle de mon banquier)